EBOLA : Foire Aux Questions

Avant de poser le diagnostic de maladie à virus Ebola, il faut exclure la possibilité d’autres affections telles que: le paludisme, la fièvre typhoïde, la shigellose, le choléra, la leptospirose, la peste, la rickettsiose, la fièvre récurrente, la méningite, l’hépatite et d’autres fièvres hémorragiques virales.

Plusieurs types de tests permettent de poser le diagnostic définitif des infections à virus Ebola au laboratoire:
• titrage immunoenzymatique (ELISA);
• détection de l’antigène;
• test de séroneutralisation;
• amplification génique précédée d’une transcription inverse (RT-PCR;
• isolement du virus sur culture cellulaire.

Les échantillons provenant des patients s’associent à un risque biologique extrême et les analyses ne devraient être exécut

QUELS SONT LES SIGNES ET LES SYMPTOMES DE LA MALADIE?


La maladie à virus Ebola est une virose aiguë sévère se caractérisant par une apparition brutale de la fièvre, une faiblesse intense, des myalgies, des céphalées et une irritation de la gorge.
Ces symptômes sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, d’une insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes.

Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang et leurs sécrétions.
 On a isolé le virus Ebola dans le liquide séminal 61 jours après l’apparition de la maladie chez un homme ayant contracté l’infection dans un laboratoire.
La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours.

COMMENT DIAGNOSTIQUER LA MALADIE?

QUELS SONT LES SIGNES ET LES SYMPTOMES DE LA MALADIE?


La maladie à virus Ebola est une virose aiguë sévère se caractérisant par une apparition brutale de la fièvre, une faiblesse intense, des myalgies, des céphalées et une irritation de la gorge.
Ces symptômes sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, d’une insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes.

Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang et leurs sécrétions.
 On a isolé le virus Ebola dans le liquide séminal 61 jours après l’apparition de la maladie chez un homme ayant contracté l’infection dans un laboratoire.
La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours.

COMMENT DIAGNOSTIQUER LA MALADIE?

Le virus Ebola s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés.
En Afrique, l’infection a été constatée après la manipulation de :
- chimpanzés,
- gorilles,
- chauves-souris frugivores,
- singes,
- antilopes des bois et
- porcs épics retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale.

Il se propage ensuite dans les communautés par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou de contacts indirects par l’intermédiaire d’environnements contaminés par ce type de liquides.
Les rites funéraires au cours desquels les parents et amis du défunt sont en contact direct avec la dépouille peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
Le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à sept semaines après la guérison clinique.
Des agents de santé se sont souvent infectés en traitant des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Ebola. Cela s’est produit lors de contacts étroits avec les patients, lorsque les précautions anti-infectieuses n’ont pas été strictement appliquées.

La maladie à virus Ebola chez l’homme est due au virus du même nom et son taux de létalité peut atteindre 90%.
Le virus est apparu pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, le virus a donc hérité de ce nom.

Le genre Ebolavirus est l’un des trois appartenant à la famille des filoviridés (filovirus), aux côtés des genres Marburgvirus et Cuevavirus.
Cinq souches différentes ont été identifiées :
• Ebola-Zaïre
• Ebola-Soudan
• Ebola-Côte d´Ivoire
• Ebola-Reston (États-Unis-Philippines)
• Ebola-Gabon
Les deux premiers sont responsables de la quasi-totalité des cas humains.
Le virus philippino-américano-africain semble être transmissible à l´homme mais sans donner de signes cliniques